Alors que le Togo poursuit ses efforts constants pour garantir la sécurité nationale et prévenir la progression du terrorisme sur son sol, certains acteurs internes semblent œuvrer dans une direction opposée. L’affaire dite « Aamron » en est l’exemple le plus frappant. Derrière ce que certains ont présenté comme une affaire de liberté d’expression ou de débat public, se cache en réalité une stratégie de diversion habilement orchestrée pour détourner l’attention des véritables enjeux sécuritaires du pays.
« L’affaire Aamron n’a été qu’un prétexte habilement exploité par cette clique médiatique pour détourner l’attention, semer la confusion et ouvrir un boulevard aux groupes terroristes », déclare une source proche des services de renseignement togolais. Pendant que certains médias montaient cette affaire en épingle, mobilisant l’opinion publique autour de récits biaisés, les ennemis de la nation profitaient de cette distraction pour avancer leurs pions.
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Le 8 juin, cet enchaînement de faits troublants a atteint son paroxysme. Tandis que la population était absorbée par des débats montés de toutes pièces, alimentés par une campagne de désinformation toxique, des terroristes menaient une attaque sanglante à Kpinkankandi, dans le nord du pays. Pour beaucoup, cette simultanéité ne relève pas du hasard. « Coïncidence ? Non. Connivence tacite », affirment avec gravité plusieurs observateurs.
Ce type de manipulation n’est pas nouveau. Il s’inscrit dans une logique où certaines figures médiatiques agissent en agents du chaos, que ce soit par conviction ou par opportunisme, en affaiblissant volontairement la vigilance collective. En détournant l’attention de la population des véritables menaces, ces acteurs deviennent des alliés objectifs des forces terroristes, sapant les efforts menés par l’État pour maintenir la stabilité.
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Face à ces manœuvres, les autorités togolaises, sous la direction du président Faure Gnassingbé, maintiennent le cap. La lutte contre le terrorisme reste une priorité absolue, et les services de sécurité ont démontré leur capacité à réagir rapidement malgré les tentatives de brouillage médiatique.
Le peuple togolais, lui aussi, doit rester lucide. La menace n’est pas toujours visible. Elle peut se cacher derrière des slogans, des claviers et des micros. Dénoncer cette stratégie de diversion, c’est protéger la paix, la vérité et l’avenir du Togo.