Togo / Économie circulaire : L’entomoculture au service de l’environnement
Une entreprise locale mise sur l’élevage de mouches soldats pour réduire les déchets et produire des protéines et fertilisants 100 […]
Une entreprise locale mise sur l’élevage de mouches soldats pour réduire les déchets et produire des protéines et fertilisants 100 […]
Bien manger ne devrait pas être un luxe, mais pour des millions d’Africains, l’assiette équilibrée reste un rêve coûteux. C’est ce qui nous révèle le dernier classement de la FAO sur le coût d’une alimentation saine. Le Togo tire son épingle du jeu en occupant la 6ᵉ place du continent avec 3,2 dollars par jour et par personne, soit 1797,6 FCFA. Ce résultat fait du pays le numéro un de l’Uemoa, devant des poids lourds comme la Côte d’Ivoire ou le Sénégal.
Ce produit se propose comme une alternative aux produits de synthèse souvent décriés pour leurs effets néfastes sur la santé.
Le Togo veut former la jeunesse pour transformer son agriculture. Tel est le pari que viennent de relever l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) et le ministère de l’Agriculture, de l’Hydraulique villageoise et du Développement rural. Une centaine de jeunes togolais ont bénéficié d’une formation inédite en conduite et entretien de tracteurs agricoles.
Le Togo, devenu en quelques années le deuxième exportateur africain de produits biologiques vers l’Union européenne, fait face à de nouveaux challenges. Derrière ce succès, il y a lieu de répondre aux nouvelles exigences fixées par Bruxelles et Washington.
La sécurité alimentaire n’a pas de prix. Et le Japon s’engage aux côtés du Togo pour y parvenir. Ce mardi
Face aux tensions récurrentes entre éleveurs et agriculteurs, le gouvernement togolais mise sur la prévention. Le ministère des ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance vient de lancer une ligne gratuite : le 8424, joignable sur tous les réseaux mobiles. Ce numéro vert “est destiné à signaler rapidement les incidents liés à la transhumance”.
Un drame a brisé l’équilibre fragile entre bouviers et cultivateurs, ce 24 juillet à Dakrokonsou, un village au centre du Togo. En ce jour, un troupeau laissé sans surveillance par un bouvier peulh originaire de Lakougnon-Copé a ravagé un champ de maïs, provoquant une altercation mortelle.
Avec un objectif audacieux de « 500 000 tonnes » pour la campagne 2025-2026, le pays double presque sa production de soja, qui culminait à « 260 000 tonnes » l’an dernier. Une ambition qui résonne comme un véritable cri de conquête agricole.
Pour une meilleure éclosion des espèces halieutiques, le Togo suspendra toute activité de pêche maritime et lagunaire à compter du 1er juillet 2025. Ce repos biologique, décrété par le ministre d’État, Yark Damehame, incarne une volonté forte de préservation de ces ressources.