Le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, en collaboration avec la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA) organise du 1er au 31 octobre 2023, sur l’ensemble du territoire national, la 4ème édition du « Mois du Consommer Local » avec pour thème : « Quelles stratégies pour stimuler la consommation des biens et services locaux ? ».
Cette édition sera l’occasion pour les parties prenantes de faire l’état des lieux des éditions précédentes, d’étudier et de définir de nouvelles stratégies en vue de renforcer la compétitivité des entreprises togolaises sur les marchés pour une consommation locale plus dynamique, créatrice d’emplois décents pour les jeunes et les femmes conformément aux objectifs de la feuille gouvernementale 2020-2025.
Le 25 octobre 2019, les ministres chargés du Commerce des Etats membres de l’UEMOA avaient adopté à compter de l’année 2020, le mois d’octobre comme « Mois du Consommer Local ».
L’objectif est d’accompagner les efforts de transformation des produits locaux dans l’espace communautaire, à travers la promotion du savoir-faire national.
Le gouvernement togolais, depuis 2020, à travers le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, a toujours respecté la tradition.
Ainsi, pour cette quatrième édition, un panel de haut niveau sur le thème de l’année, des communications sur la qualité, la certification des produits et la contribution des laboratoires d’analyses à la compétitivité des produits et services, des expositions-ventes de produits « Made in Togo », des visites d’entreprises et des campagnes médiatiques sur les biens et services locaux sont entre autres activités inscrites à l’agenda.
La ministre du Commerce, Mme. Kayi Rose Mivedor-Sambiani, rappelle à toutes les couches socio-économiques et culturelles de notre pays de privilégier conformément à la Lettre circulaire N.002/2020/PM/CAB du 06 octobre 2020 de Madame le Premier Ministre, les biens et services locaux dans le cadre de leur approvisionnement afin de participer à un développement économique endogène, inclusif et dynamique, porteur d’une croissance forte, durable et gage d’une véritable culture de souveraineté économique.