Après plus d’un mois d’intenses activités, la Force sécurité élections municipales 2025 (Fosem 2025) a conclu sa mission avec le sentiment du devoir accompli. Créée par le décret n°2025-007/PC, cette unité spéciale rassemblait 12 000 agents issus de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale. Leur mission est de garantir la sécurité du scrutin municipal du 17 juillet 2025, de la première affiche collée à la dernière urne scellée.
Dès le 30 juin, le pays a vu se déployer cette armée en uniforme. Trois séquences ont jalonné leur mission : la période pré-électorale, le jour du vote et la phase post-scrutin.
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Du 1er au 15 juillet, la Fosem 2025 s’est faite présence rassurante. Les patrouilles sur les axes, l’escorte des caravanes, la veille sur les meetings : tout a été fait pour la protection du matériel électoral et des institutions. Sur le terrain, les agents ne se contentaient pas d’assurer la sécurité ; ils rappelaient aussi aux candidats et aux électeurs le respect des règles démocratiques.Les 14 et 17 juillet, la Fosem a œuvré pour la protection des agents électoraux, le contrôle des abords, la prévention des tensions : un dispositif visible mais mesuré. Le résultat a été un climat serein, salué par les observateurs nationaux et internationaux. Dans un pays où chaque vote est précieux, cette sérénité valait de l’or.
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Après le scrutin, la Fosem 2025 a concentré ses forces sur les zones sensibles, escorté les procès-verbaux vers la Céni et surveillé la compilation des résultats. L’objectif est de préserver la confiance des citoyens dans le processus électoral
Aux commandes, le colonel Kedewouli Essodô Koudjaki, sous l’autorité opérationnelle du ministère de la Sécurité et de la Protection civile et au service de la Céni, a prouvé l’efficacité de son maillage régional et communal.
