L’éducation est la base pour réussir la lutte contre les changements climatiques et la protection de l’environnement en général. Il faut amener les plus jeunes et aussi le reste de la population à adopter les bonnes habitudes écoresponsables. En Afrique, un réseau a été mis sur pied pour atteindre cet objectif. Il s’agit du Réseau africain pour la promotion de l’éducation à l’environnement (RAPEE).
Le RAPEE veut imaginer un continent africain et un modèle où le développement économique se concilie avec la préservation des ressources et des écosystèmes naturels dans un climat d’inclusion et de justice sociale.
Le réseau a pour mission d’appuyer toutes les organisations de la société civile africaine intervenant dans le domaine de l’éducation relative à l’environnement, à partager des connaissances (le savoir-faire), des pratiques et outils (savoir-faire) et des comportements (savoir-être), prompte à soutenir un développement durable de nos communautés.
Le RAPEE a une coordination internationale dirigée par le Camerounais Steve Lakounga. En dehors de cela, il y a des points focaux dans plusieurs pays dont le Togo.
Une telle synergie d’action permettra assurément de mobiliser les acteurs dans les pays et sur le continent afin que l’éducation à l’environnement devienne une composante des programmes scolaires.
Cet article est rédigé en collaboration avec l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l’Initiative jeunesse de lutte contre les changements climatiques rendue possible grâce au soutien financier du gouvernement du Québec
Lire aussi : Le Togo a participé au Forum génération égalité
2 commentaires
dapoxetine for premature Eli pHLMlkYCZhEOsNcc 6 17 2022
In contrast to the potent action of tamoxifen on both glioma and breast cancer cells, tamoxifen had no significant effects on astrocytic calcium signaling priligy amazon