A travers un communiqué de presse datant du 16 avril 2020, l’équipe organisatrice a informé qu’à « l’heure du retour à la vie culturelle, la Biennale de la danse sera au rendez-vous ». Avec des millions de personnes confinées, les organisateurs sont convaincus que ce sont « la musique, les livres, les diffusions d’œuvres en ligne qui représentent une source de réconfort et une ouverture au monde ».
« Toutefois, l’exceptionnelle situation sanitaire nous oblige à réinventer l’édition 2020 en prenant en compte la santé et la sécurité de toutes celles et ceux qui font la Biennale de la danse et le moment solidaire et festif que constitue le défilé ».
Mais, l’équipe travaille actuellement avec ses partenaires sur l’hypothèse d’une Biennale en deux temps : « En septembre 2020, programmation des spectacles en salles dans une version resserrée qui tiendra compte des difficultés de certaines compagnies à aboutir leurs créations en septembre et des déplacements internationaux ».
Et « en mai/juin 2021, se déroulera le défilé de la Biennale de la danse en accord avec les nouvelles dates de la saison Africa2020. Le défilé aux couleurs de l’Afrique sera l’un des temps fort de la saison Africa2020. Seront également présentées, durant cette période, des créations de chorégraphes africains. Pour la première fois, la Biennale de la danse investira les anciennes Usines Fagor, tiers-lieu éphémère de la Biennale de la danse dédié à la jeunesse et ouvert à tous pour créer un nouvel espace d’échanges et d’expériences de création souvent pluridisciplinaires, en collectif et très inclusives ».