Dans la nuit du 8 juin 2025, à Kpékpakandi, localité nichée dans la région des Savanes, le silence a cédé la place au fracas d’une violente riposte. Une opération militaire d’envergure, menée avec précision par les Forces de défense et de sécurité (FDS) togolaises, a permis de neutraliser plusieurs individus armés identifiés comme des terroristes.
Sur le terrain, des motos, des armes et du matériel de communication jonchaient le sol, preuves tangibles d’une incursion méthodiquement déjouée. La menace a été contenue avec bravoure par les FDS.
Selon des sources sécuritaires, cette intervention rapide n’est pas le fruit du hasard mais celui d’un travail coordonné, reposant sur du renseignement opérationnel et une vigilance constante. Les unités déployées ont agi avec efficacité, appuyées par une stratégie qui s’est affinée au fil des mois dans cette zone sensible, à la lisière du Burkina Faso. Une zone régulièrement ciblée par des infiltrations djihadistes.
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Ce succès militaire s’inscrit dans le cadre d’une montée en puissance progressive des FDS, portée par une volonté politique affirmée. Depuis 2022, le Plan d’urgence pour la région des Savanes a jeté les bases d’un renforcement significatif de la présence militaire dans le nord, confronté aux soubresauts du Sahel.
Le président du Conseil, Faure Gnassingbé, incarne cette ligne de front stratégique. En dotant les forces armées des équipements nécessaires et en soutenant sans relâche leurs efforts, il a fait de la lutte contre le terrorisme une priorité nationale.
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À Kpékpakandi, ce dimanche de juin, c’est bien plus qu’un accrochage qui s’est joué : c’est la réaffirmation de la souveraineté togolaise, le refus clair de céder un pouce du territoire national.
Pour les habitants, la peur reste tapie dans l’ombre. Mais un souffle nouveau de confiance traverse le paysage. L’ennemi a été surpris et violemment reprimé.
