Le développement socio-économique inclusif et résilient passe nécessairement par la construction des infrastructures routières, capables de fluidifier le déplacement des personnes et des biens. Depuis 2010, le Togo a investi près de mille (1000) milliards de francs CFA dans la construction des routes. C’est la même somme que le pays s’apprête à dépenser au cours des cinq (05) prochaines années.
Principalement, les investissements seront consacrés à « la construction de l’autoroute de l’unité (Lomé-Cinkassé) ; la modernisation de la voie Avépozo-Aného ; la protection des côtes maritimes togolaises » peut-on apprendre sur Togo First.
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Aussi, « les constructions d’une plateforme multiservices à Adakpamé et d’un port sec à Cinkassé au cours des cinq (05) prochaines années devraient permettre de décongestionner le Port autonome de Lomé (PAL) ». Par-dessus tout, « plusieurs voies transversales seront construites pour faciliter l’accès des opérateurs économiques (notamment ruraux) aux marchés. Entre autres, Lomé-Vogan, Lomé-Kpalimé, Notsè-Agou, Aouda-Kara ».
En ce qui concerne les travaux de construction ou d’aménagement d’infrastructures routières, le pays entend réaliser « une voie de contournement de Sokodé et réhabiliter des voies urbaines à Tsévié, Kpalimé, Atakpamé, Sokodé, Bassar et Mango, etc. » parachève Togo First.
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