À Genève, la voix des femmes résonnent avec force ; celles des présidentes de parlements venues du monde entier, rassemblées pour tracer les lignes d’un avenir apaisé, inclusif et résolument solidaire. Parmi elles, Hadja Mémounatou Ibrahima, Speaker du Parlement de la Cédéao, incarne avec humilité et fermeté l’élan d’un leadership au service de la paix.
Ce sommet inédit est dédié à la mise en œuvre du programme « Femmes, Paix et Sécurité », vingt-cinq ans après l’adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations unies. Les participantes y évaluent les progrès réalisés, les défis persistants, et surtout s’accordent pour défendre un monde plus juste.
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Dans son intervention, Hadja Mémounatou Ibrahima a lancé un appel vibrant : « À Genève, nous affirmons collectivement que la paix véritable ne peut se construire sans la participation pleine et entière de toutes et tous ». Des mots lourds de sens, dans un contexte mondial où les tensions, les conflits et les fractures sociales appellent à une réponse audacieuse.
Mais au-delà des discours, c’est la foi partagée en un avenir commun et la force tranquille de la sororité parlementaire qui donnent à ce sommet sa profondeur. L’union de ces femmes, issues de cultures diverses, témoigne d’un engagement fort : bâtir un monde où la cohésion sociale est une réalité, et non un vœu pieux.
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Ce rendez-vous est bien plus qu’un événement institutionnel. C’est un hymne à l’espérance, une passerelle entre convictions intimes, responsabilités publiques et exigence de paix durable.