« L’avenir appartient à la jeunesse », nous apprend un dicton populaire. Mais, cet avenir est en danger, lorsque l’on observe les impacts persistants des changements climatiques et l’inaction qui les accompagne. Les jeunes doivent donc prendre leur destin en main. Malheureusement, beaucoup de jeunes sont encore indifférents. L’exemple de Marie Christina Kolo, militante climatique, écoféministe et entrepreneure sociale, devrait les inspirer.
« Je ne cesse de dire que je suis optimiste parce que de plus en plus de jeunes essaient de promouvoir une économie plus verte, et de prouver que nous n’avons pas besoin de trop exploiter les ressources naturelles. Je veux dire que les jeunes ne resteront pas silencieux, que nous avons une voix, que nous serons entendus et que nous devons être inclus dans le processus décisionnel. Nous devons d’abord le faire au niveau national », affirme avec optimisme la militante Malgache.
Nous pouvons, poursuit-elle, « travailler ensemble. Nous pouvons partager les meilleures pratiques. Je profite donc de cette occasion pour appeler tous les mouvements de jeunesse du monde entier à travailler ensemble pour apporter des changements », a-t-elle exhorté.
Dans le cadre de la journée mondiale de la Terre nourricière, Marie Christina Kolo a eu l’honneur de participer à une conversation avec le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
Cet article est rédigé en collaboration avec l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l’Initiative jeunesse de lutte contre les changements climatiques rendue possible grâce au soutien financier du gouvernement du Québec.
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