Des discussions cruciales sur les droits des femmes se tiennent à New York, marquant le 30e anniversaire de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing. Dans le cadre de la 69ᵉ session de la Commission de la condition de la femme des Nations unies (CSW69), le Togo a une fois de plus affirmé son engagement en faveur de l’autonomisation des femmes et des jeunes.
La ministre de l’Action sociale, Kossiwa Zinsou-Klassou, porte la voix du Togo à cette tribune internationale. Pour le pays, cette session est l’occasion de partager les avancées significatives réalisées ces dernières années. « Le rapport du Togo met en évidence l’amélioration du cadre juridique à travers la révision et l’adoption de nouveaux textes visant à renforcer la position économique des femmes et des jeunes filles », a souligné la ministre. Ces réformes juridiques visent notamment à lutter contre les violences sexistes, un fléau omniprésent dans de nombreuses sociétés.
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Les actions menées par le Togo ne se limitent pas à des textes. Elles se matérialisent aussi par des initiatives concrètes pour soutenir les femmes sur le terrain. « Il souligne également le renforcement du cadre institutionnel, avec l’extension des centres d’écoute pour les victimes de violences basées sur le genre, la mise en place de points focaux genre et la mise en œuvre de projets dédiés à l’autonomisation des femmes en milieu rural », a ajouté la ministre.
Cette dynamique est un reflet du changement en cours au Togo, où la promotion de la femme occupe désormais une place centrale dans les priorités gouvernementales. À tel point que des femmes occupent des postes décisionnels clés. Une transformation profonde qui, on l’espère, inspirera d’autres nations dans leur lutte pour l’égalité des genres.
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Cette session, qui se tient du 10 au 21 mars, rassemble des délégations mondiales. Elle est un moment charnière pour les droits des femmes en permettant d’évaluer les progrès réalisés en matière d’égalité des sexes.