Dans quelques jours, les couleurs du Togo flotteront sur les plages d’Adélaïde en Australie. Pour la première fois, le pays s’invite à la Coupe du monde de beach-volley, du 14 au 23 novembre 2025. Une aventure inédite, presque irréelle, mêlant sueur, fierté et rêve national.
« Le compte à rebours est lancé », annonce la Fédération togolaise de volleyball, comme un cri du cœur. Et pour cause : jamais auparavant le drapeau togolais n’avait flotté sur la scène mondiale de ce sport. Derrière cet exploit se cachent deux noms qui résonnent déjà comme une promesse : Kotoka Abraham et Samani Achile. Deux visages, deux parcours et une même passion. Jeunes, passionnés et déterminés, les deux joueurs symbolisent la persévérance, la rigueur et l’espoir d’un volleyball togolais en pleine ascension.
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Avant le grand départ, le duo peaufine ses derniers automatismes sur la plage de Lomé, face à l’hôtel Onomo. Les séances, prévues les 4, 5 et 6 novembre, sont ouvertes au public. C’est là que tout se joue : la précision du geste, la complicité du binôme, la confiance avant l’arène mondiale.
Mais au-delà de la compétition, c’est tout un pays qui se prépare à vibrer. « Cette qualification est bien plus qu’un simple exploit sportif », reconnaît la Fédération. Elle incarne l’émergence d’une génération nouvelle, audacieuse et fière.
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Dans onze jours, le sable australien portera les pas de ces deux Togolais et, avec eux, les espoirs d’une nation entière. Le Togo n’y va pas seulement pour jouer. Il y va également pour entrer dans l’histoire.
