La section togolaise de l’Union de la presse francophone (UPF-Togo), à l’occasion de la journée internationale de la Liberté de la presse 2020, s’est approchée de figures marquantes de la scène sociopolitique togolaise dans leur diversité. Entre autres, le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC), Télou Pitalounani ; le ministre de la Communication, des Sports et de l’Education à la citoyenneté et au civisme, Foli Bazi Katari ; le directeur de Communication et de l’information à la présidence de la République, Toba Tanama ; le maire de la commune d’Ogou 1 à Atakpamé, Florence Kouigan ; l’ancienne coordinatrice de la coalition des 14 partis de l’opposition, Brigitte Adjamagbo-Johnson, le ministre de la Fonction publique, du Travail et la Réforme administrative, Gilbert Bawara, etc.
Tous ces ténors dont la voix porte et compte dans le concert politique togolais reconnaissent, sans l’once d’un doute, la place de choix que tient la presse dans la vie d’une nation et surtout d’une démocratie en construction. Son apport et sa capacité inestimable et incontestable à fédérer tout un pays, à prévenir la population des dangers et surtout, à assister les gouvernants dans leurs tâches.
Au Togo, malgré leurs hauts et leurs bas, les médias forment et informent, éduquent, civilisent, distraient. Autant le dire, la presse togolaise tient un rôle essentiel dans le cours de la vie. Ce qui, de toute évidence n’élude pas la question d’un soutien financier conséquent, que tous les acteurs de la presse appellent de leurs vœux. Que disent au juste les personnalités publiques de la presse ? Suivez plutôt !
La Rédaction