De nouvelles informations sont venues s’ajouter à celles préexistantes, en rapport avec le décès du Lieutenant-Colonel, Madjoulba Bitala dont le corps sans vie a été retrouvé lundi 04 mai 2020 dans son bureau, au camp du 1er Bataillon d’intervention rapide (Bir) à Lomé.
« Des balles retrouvées dans le corps du Colonel Madjoulba : plusieurs officiers des Forces armées togolaises (Fat) déjà sous les verrous » titre afreepress. Parallèlement, icilome.com a informé plus tôt que « le secrétaire particulier du Colonel défunt et quelques officiers proches de l’illustre disparu ont été mis aux arrêts ».
Sont-ils les auteurs du forfait ? Difficile de répondre. Cependant, « des enquêtes sont en cours afin de mettre un visage et des noms sur les auteurs de cet acte ignoble ».
Des sources dans la haute hiérarchie de l’armée, souligne le site, « révèlent ce mardi que suite à une autopsie réalisée, plusieurs balles ont été retirées du corps du militaire, démontrant que l’homme a été tué à l’aide d’une arme à feu ».
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Crédit photo : Arnaud Bocco