C’est un geste symbolique fort qui confirme l’engagement du Togo en faveur de la promotion de la femme. Ce 5 mars, le président de la République togolaise, Faure Gnassingbé, a une fois encore démontré son engagement pour l’égalité des genres avec la nomination de 20 sénateurs, dont 10 femmes.
Inscrite depuis plusieurs années au cœur de son mandat, la promotion du genre est chère au chef de l’Etat. La nomination de ces 10 femmes au Sénat ne fait qu’enrichir cette chambre de sa diversité politique. Elle illustre surtout le respect de la parité homme-femme, un principe que Faure Gnassingbé s’efforce de mettre en œuvre à chaque étape de sa gouvernance.
Parmi les 10 nouvelles sénatrices, on retrouve des femmes influentes, telles que l’universitaire Kafui Kgegba, Molgah Abougnima, Bernadette Balouki-Leguezim et Edwige Clara Ayawovi Sant’anna veuve Ayayi-Atayi. Le président, en les choisissant, continue de démontrer que l’avenir du pays passe par l’inclusion des femmes dans les processus décisionnels.
Depuis son accession à la présidence en 2005, Faure Gnassingbé a compris que l’émancipation des femmes est la clé de l’essor socio-économique. Des actions concrètes ont été entreprises dans divers domaines, notamment des nominations aux postes de responsabilités étatiques aux législations favorisant l’égalité des chances. La nomination de femmes à des postes de haut niveau, dont Victoire Tomegah-Dogbé, Première ministre, et Yawa Djigbodi Tségan, ancienne présidente de l’Assemblée nationale, ne sont que des exemples parmi tant d’autres de cette politique.
L’impact de ces actions se fait sentir sur plusieurs fronts. Le pays a mis en place des lois pour la parité, modifiant le code de la sécurité sociale, du travail et même en matière foncière. Ceci, afin de garantir un environnement plus équitable. Le Fonds national de la finance inclusive (FNFI) est également venu renforcer l’autonomisation des femmes, un levier stratégique pour leur inclusion économique.
Pour l’heure, une chose est évidente. Le Togo n’a pas fini de briller en tant que modèle de progrès dans la promotion de la femme en Afrique de l’Ouest.
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