Face à la montée des fake news et de l’extrémisme violent menaçant la stabilité de la Région ouest-africaine, votre média Le Nouveau Reporter veut jouer sa partition. Le 28 février prochain, de 10h à 12h (GMT), un webinaire gratuit, animé par des experts les plus avisés du secteur, abordera ce sujet.
Intitulé « Faire face aux fake news pour lutter efficacement contre le terrorisme », ce webinaire vient répondre aux conséquences actuelles liées à l’instantanéité de l’information. Dans ce contexte où les informations circulent à une vitesse vertigineuse, les fake news deviennent des armes redoutables, alimentant la peur et l’hostilité.
Ces « désinformations » sont non seulement un vecteur de manipulation mais également un terreau fertile pour les groupes extrémistes. C’est pour cette raison que ce webinaire s’impose comme un moment clé. « Ce phénomène ne connaît pas de frontières et touche tous les aspects de la vie« , explique le communiqué, soulignant l’urgence d’agir face à ce fléau.
Les enjeux seront décortiqués à travers 3 axes essentiels : une analyse des origines de l’extrémisme violent, l’impact des fake news sur la sécurité et les moyens de les contrer, ainsi que des solutions concrètes pour renforcer la cohésion sociale. Des experts de renom, tels que Kondi Napo Sonhaye, Maître de Conférences à l’Université de Lomé et Expert des questions numériques, ainsi que Noel Kokou Tadegnon, journaliste d’investigation, enseignant et spécialiste de vérification des faits (fact-checking), sans oublier Dr Kodjo Avuletey, également journaliste et enseignant partageront leur expertise et leurs stratégies. « L’objectif est d’offrir aux participants des outils pour identifier et contrer la désinformation », précise le programme.
Lire aussi : Togo / Médias : TogoCheck lance RadioCheck
À l’issue des présentations, une session de questions-réponses permettra d’approfondir les échanges, offrant aux participants un véritable espace de réflexion et de dialogue.
Ce webinaire, gratuit et ouvert à tous, se veut un appel à l’action collective. « Contribuez à un mouvement pour une société plus informée, plus sûre et plus résiliente« , précise le média. Une occasion à ne pas manquer pour les journalistes, étudiants, acteurs de la société civile ou simples citoyens engagés désirant jouer un rôle dans la lutte contre l’extrémisme et la désinformation.